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Liberté et échange dans la Cuba communiste
jeudi 17 juin 2010
Maintenant que les subsides soviétiques ont disparu et que le régime se trouve sans argent, et que l’adhésion la tyrannie socialiste ne donne plus droit à des avantages suffisamment concret, l’exigence de liberté des Cubains est à la hausse.
La révolution socialiste de Fidel Castro avait promis de satisfaire les besoins fondamentaux du peuple cubain, mais le prix demandé a été l’abandon des libertés. L’enthousiasme irréfléchi qui avait salué le début de la révolution a contribué à ouvrir la voie à la disparition de toute vie civile, politique, ainsi que les droits économiques dans un très court laps de temps. Au lieu de l’avenir radieux, la misère s’est répandue à à Cuba et l’individu a été avili.
C’est ainsi qu’avec l’aide des énormes subventions soviétiques, le paternalisme de l’État a dépouillé les citoyens de leurs responsabilités individuelles et communautaires, établissant une sorte de système de troc entre la liberté contre des privilèges. L’État procurait du travail, des appareils électriques, le logement, parfois des vacances et d’autres avantages en échange d’obéissance et d’appui de l’action de la dictature – participation aux messes politiques, appartenance au Parti communiste, adhésion à l’athéisme, etc. Le socialisme cubain a produit des idéalistes frustrés et des opportunistes qui soutiennent le système sur la seule base de la recherche de gains personnels.
Depuis l’effondrement de l’Union soviétique, le régime castriste a bien essayé de gagner du temps en introduisant de manière cosmétique dans les années ’90 quelques réformes limitées et de courte durée. Mais les Cubains, en nombre croissant, ont perdu leurs illusions sur le socialisme et réclament du changement. L’un des outils que les Cubains ont maintenant à leur disposition pour tenter de recouvrer leur liberté d’expression et d’association est l’Internet, qui a rapidement donné naissance à une communauté de cyberdissidents, malgré les efforts de la dictature cubaine pour bloquer au maximum son accès. Maintenant que les subsides soviétiques ont disparu et que le régime se trouve sans argent, et que l’adhésion la tyrannie socialiste ne donne plus droit à des avantages suffisamment concret, l’exigence de liberté des Cubains est à la hausse.
Voilà de quoi nous parle la maintenant célèbre blogueuse indépendante cubaine Yoani Sánchez – dont nous avons le plaisir de lier son site, Generación Y, sur Contrepoints – dans un papier intitulé « Freedom and Exchange in Communist Cuba » publié hier par le Cato Insitute.
Messages
1. r, 17 juin 2010, 11:07, par Txakal
C’est beau de r
1. r, 17 juin 2010, 11:45, par Lucilio
2. Libert, 17 juin 2010, 11:25
le pire c’est que ceux qui parlent ou ecrivent sur Cuba n’y sont jamais all
1. Libert, 17 juin 2010, 11:32, par Lucilio
Euuuhhh... Yoani S
2. Libert, 17 juin 2010, 15:53
faux c’est elle qui refuse
3. Libert, 17 juin 2010, 16:01, par Lucilio
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