Liens intéressants

 Café liberté des 11 et 15 décembre 2006 : l’hypothèse d’une bulle financière d’une intensité comparable à celle de 1929 était déjà formulée.

 Café liberté des 13 et 16 février 2007 : détail du panorama de l’immobilier et de l’urbanisme en France. En particulier, est évoquée (cf. §4) la constitution d’une bulle immobilière majeure permise par les règlementations de l’urbanisme des grandes agglomérations occidentales, souvent aussi restrictives qu’en France.

 Subprimes, revue de web : Ron Paul, le Glass Steagall Act, la "loi Q", Bradford et Bingley... : Vincent Bénard résume le discours prononcé le 16 juillet 2002 par Ron Paul, à la chambre des représentants états-unienne, où il annonçait le développement d’une bulle immobilère majeure due à la réglementation et aux subventions accordées à Fannie Mae (organisme jadis public créé sous ROOSVELT) et Freddie Mac qui éclaterait un jour mettant dans une situation financière désastreuse des millions d’américians. Les républicains au pouvoir n’ont pas eu le courage de neutraliser cette législation démocrate à une époque où la bulle n’avait que la moitié de sa puissance.

 Spécial crise : numéro spécial de nos amis d’Un monde libre

 The Bailout Reader : dossier spécial du Mises Institute.

 Financial Crisis and Recession : article de Jesus Huerta de Soto

 L’aléa moral met en cause notre système monétaire : Concis et pédagogique, Guido Hülsmann expose le problème à la racine (manipulation de la monnaie, politique d’expansion du crédit et aléa moral)

 Community Reinvestment Act : Le Community Reinvestment Act ou CRA est une loi fédérale américaine de 1977, qui oblige les banques à accorder des prêts à l’ensemble de la population et non uniquement à leurs clients les plus fortunés. Elle a donc concrètement comme effet, voulu, d’obliger les banques à accorder des prêts aux ménages les plus pauvres et donc très probablement insolvables.

 Les raisons de la crise économique - une contribution : Discours de Mises sur le blog de Jesrad, datant certes de 1931, mais à bien des égards plus actuel et éclairant que les élucubrations médiatiques auxquelles nous avons droit ces temps-ci.