Afrique

Il ne faut pas se lamenter de la mondialisation, mais au contraire du manque de mondialisation en Afrique.

Dans l’imaginaire populaire, le FMI serait le responsable de l’accroissement de la pauvreté en Afrique. Un tel discours n’est-il pas exagéré ?

L’africain moyen n’obtiendra donc pas « davantage » sur le climat, et verra sacrifiées ses opportunités d’améliorer son niveau de vie.

Mathieu Bédard clarifie le débat actuel sur les rachats de terres agricoles en Afrique par des investisseurs étrangers.

Ouverture économique et développement de la concurrence oblige, dans un cadre réglementaire, fiscal et douanier qui s’allège d’année en année, notamment depuis l’accès de Mohammed VI au trône. Ce dernier est à la tête des groupes SNI (Société Nationale d’Investissement) et ONA. Une opération de fusion de ces deux groupes vient d’être annoncée, avec une close relative à la cession d’activités industrielles historiques.

Non content d’avoir anéanti la productivité agricole de ce que l’on appelait encore il y a quelques décennies le grenier à blé de l’Afrique en expropriant les fermiers blancs dans les années 2000, le créatif président Mugabe du Zimbabwe a récemment décidé d’appliquer le même genre de mesures aux entreprises.